Qui suis-je ?
Je m’appelle Christelle Firmis, je vis et j’exerce à Lyon, sur le plateau de la Croix-Rousse.
Mon parcours professionnel, atypique et cohérent, participe à la richesse de mon approche, le voici en quelques mots :
J’ai exercé plusieurs années comme enseignante en collège et lycée (français et latin). Suite à un projet auprès d’enfants hospitalisés, j’ai été instit en primaire puis instit spécialisée maître D en ITEP (Institut Thérapeutique, Educatif et Pédagogique) pour des adolescents ayant des troubles du comportement.
Depuis 2010, je travaille en tant qu’orthopédagogue -profession libérale en cabinet. C’est un métier qui allie la pédagogie et la relation d’aide, un métier dans lequel je suis très investie, à l’aise et qui continue de me passionner.
(voir mon site: www.orthopedagogue.eu)
Depuis quelques années, pour aider au mieux et approfondir certains de mes suivis, j’ai choisi de me former à l’hypnose. Mais au-delà de sa complémentarité à l’orthopédagogie, c’est une activité à part entière. Formée initialement à l’hypnose pour adultes (je travaille parfois avec les parents), je me suis spécialisée auprès de différents organismes en hypnose pour enfants et adolescents afin d’exercer auprès des tranches d’âges que je connais bien et depuis longtemps. J’aime travailler avec les jeunes pour leur énergie, leur capacité à s’émerveiller, à s’enthousiasmer, leur côté entier, et leur immense capacité de transformation. C’est souvent les aider à être mieux avec eux-mêmes, mieux avec les autres et quelque part les aider à devenir le meilleur d’eux-mêmes.
J’ai donc dans deux orientations professionnelles et même trois, en comptant les bilans d’orientation Potentialis® que je réalise depuis 2012.
Par ailleurs, mon travail occupe une place essentielle dans ma vie, je prends le temps de courir, de randonner et de pratiquer un art martial interne depuis 25 ans.
Pour finir, je m’organise de façon à pouvoir voyager les mois d’été, « frotter ma cervelle à celle d’autrui » (Montaigne), m’enrichir et progresser de cette façon-là, aussi.
Je crois et constate que pour peu que nous le voulions, nous sommes effectivement tous des “progressants”.
A ma mesure, j’essaie d’y apporter ma contribution.